Rendez-vous germanisTICEs: Améliorer la communication orale grâce à l'utilisation d'outils de prononciation numériques dans l'enseignement de l'allemand, par Stéphane RAYMOND professeur d'allemand au collège Louis Pasteur (Graulhet / Tarn)
Depuis plus de vingt ans j’organise un échange avec le Ludwig Thoma Gymnasium de Prien am Chiemsee. Lors de la traditionnelle soirée d’adieu, les élèves graulhetois lisent quelques mots de remerciement, préparés à l’attention des familles. Indépendamment du contenu des messages, je constate leurs difficultés à pouvoir s’exprimer de façon intelligible en allemand. Je lis l’incompréhension sur les visages des parents, qui tantôt froncent les sourcils, tantôt échangent des regards cherchant à décrypter ce que les élèves ont bien pu vouloir dire.
La qualité de l’expression orale est pourtant un point auquel je suis particulièrement attaché. Au quotidien, je veille en classe à une bonne prononciation de la langue allemande et je vérifie systématiquement son acquisition par les élèves.
Ainsi, je m’emploie à évaluer les productions orales des élèves avec régularité et m’appuie sur des critères précis, en fonction des points travaillés pendant la séquence. Ces critères d’évaluation concernent la réalisation de la tâche (présentation, contenu, richesse), la réactivation de structures linguistiques (lexiques, tournures), mais aussi la qualité de la langue. J’évalue donc la correction de la grammaire, de l’intonation et de la prosodie, bref l’intelligibilité. Afin que les élèves puissent progresser sur ces derniers critères, j’ai expérimenté depuis plusieurs années différentes approches et testé plusieurs outils numériques. Je me propose, dans cet article, de vous faire part de mon expérience en vous présentant la façon dont je travaille avec mes élèves à différents niveaux d’apprentissage.
1. De l’importance de bien démarrer
C’est dès le départ que les élèves doivent prendre de bonnes habitudes. L’éducation de l’oreille joue un rôle primordial dans l’apprentissage d’une langue vivante. Lors de l’acquisition de la première langue (ou des premières langues), les enfants s’imprègnent des sons en écoutant les personnes de leur entourage, pour ensuite les imiter. La bonne façon de procéder consiste à multiplier les temps d’exposition à une langue authentique, afin que nos élèves s’habituent à la sonorité de la langue allemande. Ceci peut se faire par exemple en écoutant des chansons adaptées à l’âge de l’élève et ne nécessite pas encore un délestage lexical exhaustif, l’objectif étant l’entraînement de l’oreille. L’écoute se doit d’être régulière et peut être menée sous différentes formes, en classe ainsi qu’hors la classe. Elle doit être un plaisir, afin d’entretenir la curiosité de l’élève d’apprendre une nouvelle langue. Cette étape est particulièrement importante pour l’apprentissage de l’allemand dans le Sud de la France où les élèves ignorent souvent la sonorité de la langue allemande. Nous suggérons ainsi de proposer une liste de vidéos et pistes sonores adaptées et authentiques aux élèves. Ces listes sont régulièrement actualisées et permettent une écoute libre.
La bonne compréhension de l’oral, mais aussi une expression orale, claire et compréhensible constituent la base de toute interaction orale en langue cible. C’est la capacité d’interaction à l’oral qui est source de motivation et de confiance pour l’élève.
Pour encourager une bonne maîtrise orale, on ne saurait se contenter d’une correction faite en classe « à la volée », supervisée par l’enseignant ou déléguée aux élèves, lorsque l’enseignant se contente de froncer les sourcils ou d’indiquer par un geste ritualisé qu’une erreur de prononciation a été faite. L’entraînement se doit d’être régulier et peut-être mené sous différentes formes, en classe ainsi qu’hors la classe.
Cela commence par la répétition de modèles. Ainsi, lorsque j’introduis en classe du lexique ou des structures, je prends vraiment le temps de faire répéter collectivement les phrases aux élèves, en fractionnant, si besoin, la difficulté par unités de sens. Je joue également sur l’intonation afin d’éviter que les élèves s’ennuient. Faire répéter une question (ex : Wie heißt du ? Wie alt bist du ? …), faire varier l’impact de la voix, selon les humeurs (fröhlich, deprimiert, traurig, sauer, wütend …), favorise la mise en bouche des sons, permet une prise de conscience, et facilite la mémorisation. Dans cet objectif, il est également possible de faire répéter des comptines telles 1,2 Papagei, où les élèves, après avoir découvert le lexique, se voient attribuer à l’aide de cartes, des phrases à prononcer au moment opportun. Il s’agit là d’un moyen efficace pour capter leur attention et maintenir la concentration collective. Les chansons ont naturellement toute leur place à ce niveau et leur reprise régulière, ritualisée ou non, permet là aussi aux élèves d’enregistrer des modèles phonétiques sur lesquels ils pourront s’appuyer par la suite.
Cependant, répéter en chœur ne peut être qu’un premier pas vers une prononciation qualitative. Ce pas est effectué dans l’espace protégé que crée ici le groupe. Il s’agit dans un deuxième temps de quitter cet espace pour se lancer seul. La nature des tâches proposées peut faciliter ce défi. J’organise à cet effet des activités d’expression orale très guidées qui gardent la répétition comme ligne de conduite, tout en permettant les premières variations, pour ceux qui se sentent à l’aise. Des activités comme Kettenspiel, Klassenspaziergang, Kugellager (Cf annexes) permettent à l’élève de s’habituer progressivement à l’expression orale en allemand.
Lors de ce stade d’apprentissage, l’art du professeur consiste à laisser libre cours à la production orale et à la joie qu’elle procure à l’élève et de se saisir en même temps des moments de pauses (naturelles ou provoquées par l’enseignant) pour corriger collectivement et individuellement la prononciation, sans stigmatiser. Chaque élève doit en effet pouvoir bénéficier d’un retour laudatif et si nécessaire correctif quant à la qualité de son expression.
Le travail d’association graphie-phonie constitue une troisième étape incontournable. Il passe par le repérage des phonèmes et l’identification de leur réalité sonore. Il peut être mené en reprenant le matériel linguistique introduit en classe. A ce titre, l’utilisation de vire-oreilles et virelangues (Cf annexes) constitue un excellent rituel de début de séance. Il permet non seulement aux élèves d’entrer dans un nouvel espace linguistique mais peut également favoriser la dynamique de groupe lorsqu’un challenge est organisé. Pourquoi ne pas organiser d’ailleurs ponctuellement un petit concours au sein de la classe ?
Différents moyens permettent de vérifier que les élèves associent bien les sons à leur représentation graphique. Ainsi, il est possible de leur distribuer un tableau d’écoute et de leur demander de cocher si, à l’écoute d’une liste de mots, ils entendent par exemple le son [ou] ou le son [u]. C’est ce que proposent nombre de manuels. On peut aussi procéder de façon plus ludique en organisant un Fliegenklatschenspiel, où les élèves, partagés en 2 ou 3 équipes, viennent « frapper » au tableau à l’aide d’une tapette à mouche le son repéré dans le mot prononcé par l’enseignant / un autre élève. Il est également possible d’organiser des Rückendiktate où les élèves, placés dos à dos se dictent mutuellement des mots ou de courtes phrases et doivent pour ce faire, avoir la meilleure prononciation possible. Ils contrôlent ensuite ensemble leurs réponses et peuvent identifier les réussites et les points de vigilance.
Le travail mené en classe est une nouvelle fois adaptable hors la classe. Il est en effet possible de fournir des supports sonores avec lesquels les élèves peuvent travailler à la maison. Des vidéos à ré-visionner ou des chansons à répéter, peuvent être communiquées soit sous forme de lien, soit sous forme de karaoké sur le site lyricstraining.com (exemple pour la chanson du groupe Supercrew sur les couleurs)
Cette fois-ci l’écoute n’est plus complètement libre, l’objectif n’étant pas uniquement d’habituer l’oreille à la sonorité de la langue, sinon d’asseoir le lien phonème graphème et le sens des mots. Il est à souligner que les deux pratiques se succèdent au début de l’apprentissage et coexistent par la suite. Chacune d’entre elle, une fois introduite garde sa place. Le but reste d’augmenter de manière générale le temps d’exposition de l’élève à la langue.
Pour y parvenir, les élèves peuvent également s’entraîner avec des exercices créés à l’aide de différentes interfaces numériques. Je cite, à titre d’exemple, La Digitale. Grâce à son module Digiflashcards (), elle permet à l’enseignant - où à l’élève - de créer des cartes avec son intégré.
Des outils complémentaires sont proposés par d'autres sites. Ainsi, Learningapps offre la possibilité de générer des jeux dont la réalité sonore de la langue cible peut être mise en avant, grâce à l’interface de text-to-speech.
Wordwall intègre lui aussi, depuis peu, cette fonction pour bon nombre de ses applications.
Différents outils numériques permettent donc l’entrainement à l’expression orale. Les élèves se connectent chez eux, via un ordinateur, une tablette ou un téléphone portable et répètent à l’envie les mots associés aux flashcards en ligne ou s’imprègnent de la réalité sonore de la langue allemande en faisant les jeux associés au lexique. Voici quelques exemples d’activités …
Pour les débutants, je réalise également par séquence des présentations genially. J’y intègre un certain nombre de mots dont la prononciation est à connaître. Les élèves disposent de la version graphique, d’une aide au survol de la souris et de l’illustration sonore dont ils doivent s’imprégner.
Je contrôle régulièrement que ce travail soit bien pris au sérieux. Cela peut se faire par une interrogation ou en classe (le dictaphone reste pour cela un outil très pratique !) ou à distance, en demandant aux élèves de s’enregistrer sur l’application Quiziniere (Voir un exemple en ligne). Ci-dessous en annexe un tutoriel de prise en main de l’application.
2. De l’importance de gagner en autonomie
Les activités balisées et guidées permettent à l’élève d’acquérir les prérequis pour développer des compétences à l’oral. Pourtant, avoir l’oreille pétrie de modèles sonores ne garantit pas encore une réelle performance à l’oral. Il convient donc d’accompagner les élèves afin qu’ils gagnent en autonomie et développent des stratégies personnelles d’apprentissage.
Je conseille à mes élèves de faire appel à des personnes germanophones de leur entourage - familial, amical ou scolaire (ex : correspondants) - pour tester la qualité de leur oral, autant que possible. Cela leur permet de corriger certaines erreurs récurrentes (prononciation du v, du ach-Laut, …).
Ponctuellement, je réalise ce travail aussi en classe, avant une évaluation d’expression orale en continu ou dialoguée, notamment au collège. A cet effet, je demande à quelques élèves de faire un passage blanc, à titre d’entraînement. Les autres élèves sont alors chargés d’analyser les prestations individuelles afin de coacher leurs camarades et de leur fournir un feedback. Sont ainsi abordés le contenu et la forme, mais également l’intelligibilité de la production orale (présence de voyelles infléchies, de diphtongues, de voyelles courtes ou longues, de mots composés, à accentuer sur le premier élément, …). Les points relevés constituent une base de travail pour construire avec les élèves une grille d’évaluation lisible et compréhensible de tous (Cf exemples en annexe).
Cette modalité d’entraînement s’avère formatrice pour les élèves qui se soumettent à l’exercice oral, mais elle est tout aussi bénéfique aux autres. Je note en effet une amélioration sensible des prestations entre le passage blanc et l’évaluation. Les élèves eux-mêmes expriment leur satisfaction quant à cette façon de faire, comme en attestent les résultats d’un sondage réalisé cette année.
Tous les élèves sondés en classe de 6ème estiment que cette approche leur est utile, car ils ont parfois des lacunes ou ne savent pas comment procéder (« ça était très utile car on ne connait pas tous les mots allemands. Merci beaucoup », « J’ai mieux réussi », « cela nous entraînaient pour l’évaluation », « c’a ma edait a faire », « j’ai pu utiliser les coseilles qu’on a dit en classe », « ça ma aider pour la prononsiation »).
La plupart (92%) déclarent utiliser en complément des aides annexes, comme celle proposée cette année pour la réalisation d’une expression dialoguée. Une grande majorité (84%) trouve cette aide utile (« C’est utile pour me préparer avant l’évaluation », « ça m’a aidé à retenir », « parce que je pouvais mémoriser les réponses en me questionnant mois-même sur les questions et inversement »). Les élèves déclarant ne pas la trouver utile sont soit des élèves estimant ne pas en avoir besoin (« j’écoute déjà beaucoup en cours »), soit des élèves manifestant d’autres difficultés (« J’ai essayer de memoriser mais j’ai pas réussi »). Ils sont d’ailleurs souvent lucides quant aux éventuelles solutions à apporter, soit pratiques (« ce qui m’aurait aider c’est moin d’absences », « un peu plus de temps pour réviser ») soit techniques (« ça m’aurait aidé de l’écrire »).
Le même sondage réalisé en 4ème pour une tâche d’expression orale en interaction (Du bist Reporter(in) für das Radio der Schule und sollst ein Interview zum Thema Freundschaft führen) donne des résultats similaires (« cela m’a aider a voir mes erreurs pour ne plus les faire lors du passage », « j’ai pu voir les choses que j’aurais du faire ou améliorer », « malgré le fait que je ne soi pas passée, voir les erreurs des autres m’a aider à amiliorer les miennes », « car je savais pas dire quelque mot et meme pour la prononsation ca ma aider »). Une telle approche dédramatise de plus le passage devant la classe (« ça m’a aidé aussi pour le regard », « Je trouve que ça ma été utile car j’ai peur de passé devant toute la classe et en m’entrainant, je me suis rendu compte que j’avais peur pour rien », « sa ma permit de s’adapté au regard de la classe avant l’évaluation »). Progressivement, les élèves prennent conscience de la nécessité de fournir un réel travail d’entraînement avant un passage à l’oral.
Les moments d’observation et d’échanges en cours doivent aboutir à une prise de conscience côté élèves. Ils doivent développer des stratégies personnelles d’apprentissage et fixer leurs propres objectifs, afin de devenir eux-mêmes le moteur de leur progrès. Le professeur reste disponible comme personne ressource.
Le perfectionnement des prestations passe obligatoirement par une exposition régulière et accrue à la langue (via l’écoute de chansons ou le visionnage de séries TV, reportages, …) mais aussi par le recours à des applications de text-to-speech. Je recommande leur usage afin que mes élèves puissent poursuivre leur entraînement et travailler par eux-mêmes l’intelligibilité des productions orales qu’ils ont éventuellement à préparer. Je cite, à titre d’exemple, le site naturalreaders online. Les élèves peuvent l’utiliser sans créer de compte. Une fois rendus sur le site, il leur suffit de taper le texte qu’ils souhaitent entendre oralisé, de paramétrer si besoin la vitesse d’élocution et de répéter autant de fois qu’ils le veulent les modèles sonores générés. Petit à petit, ils gagnent en autonomie et travaillent la fluidité de leur discours (Cf fiche outils en annexe).
3. De l’importance de remédier
Malgré tous ces dispositifs et l’ensemble du travail réalisé en autonomie, l’enseignant conserve toute sa légitimité lorsqu’il s’agit finalement d’évaluer les productions orales des élèves (prononciation, intelligibilité, fluidité, …). C’est donc également à lui que revient le soin de prévoir au final des activités de remédiation, notamment quant à la qualité phonologique de l’expression. Ces activités peuvent être individuelles ou collectives.
Il est possible pour cela d’utiliser le site Quiziniere, afin de récolter des productions orales et donner un travail oral à réaliser en correction. L’application permet en effet à l’enseignant de s’enregistrer et donc de fournir des modèles sonores de remédiation.
Il est également possible de préparer un support correctif à partir des erreurs les plus couramment commises par les élèves et de leur demander de travailler spécifiquement la correction des dites erreurs. Voici par exemple une présentation genially élaborée suite au passage à l’oral de mes élèves de 4ème concernant la description de la maison de leurs rêves.
Après s’être entrainés à répéter les différentes expressions de façon systématique, les élèves peuvent être interrogés sur la prononciation d’un certain nombre de termes, soit en classe à l’aide d’un dictaphone en tirant au sort un sujet papier (Cf fiche en annexe), soit hors la classe en utilisant le site mon-oral.net. Ce dernier met gratuitement à disposition des enseignants une plateforme unique sur laquelle les élèves peuvent enregistrer leurs productions. Plus besoin de collecter les enregistrements sur différents supports (cahier de texte de l’ENT, messagerie, mail, …). De plus, grâce au mode Entraînements, l’enseignant est libre de régler l’enregistrement comme pour un examen : les élèves peuvent tirer au sort différents sujets, les temps de préparation et de passage oral peuvent également être paramétrés (Cliquez ici pour visualiser un exemple) … et pour finir l’enseignant peut directement écouter les enregistrements de ses élèves, les corriger en ligne, soit à l’écrit soit en s’enregistrant lui-même. L’interface va jusqu’à proposer pour chaque élève la génération d’un QR-code qui, une fois scanné, lui donne accès à la correction de l’enseignant ! (Voir tutoriels en annexes)
En conclusion, je soulignerais une fois encore combien la maîtrise de l’expression orale ne saurait être uniquement linguistico-grammaticale. La mise en voix d’un message et sa réalisation phonologique s’avèrent tout aussi essentielles et je ne peux m’empêcher de repenser à cet ancien élève, qui brillant à l’écrit, était malheureusement incompréhensible dès qu’il s’agissait de prendre la parole. J’aurais sans doute pu mieux l’accompagner si, à l’époque, j’avais mis en place les différentes méthodes développées dans cet article. Non qu’elles auraient été suffisantes - car acquérir une bonne prononciation demande du temps – mais elles l’auraient certainement aidé à dépasser certaines de ses difficultés pour rendre son discours plus intelligible.
A cette époque, je ne disposais pas encore des outils TICE actuels, dont je recommande l’usage, car si le temps consacré en classe aux entraînements s’avère insuffisant, ils constituent une alternative non négligeable pour la mise à disposition multipliée de supports audios d’entraînement. Et si s’emparer de ces outils pour un travail hors la classe relève de la responsabilité de l’élève, l’enseignant dispose toutefois de suffisamment de moyens pour contrôler que le travail demandé a bien été réalisé et faire prendre conscience aux élèves, comme le disait Aristote, que « ce que nous devons apprendre à faire, nous l’apprenons en le faisant ».
Liens et ressources
- Autour des vire-oreilles et virelangues
- Des jeux oraux pour entraîner à l’expression orale dialoguée (Klassen-Spaziergang, Kugellager, …)
- Des exemples de grilles d’évaluation construites avec les élèves pour :
- la récitation d’un dialogue appris par cœur (6ème débutant)
- la récitation de la comptine 1,2 Papagei (6ème débutant)
- un jeu de rôle dans lequel les élèves doivent mutuellement s’interroger pour faire connaissance (6ème débutant)
- Fiche élève : la prononciation en allemand | référentiel interactif : https://view.genial.ly/6298522fefe7970013657124
- Fiche outil élève : Utiliser le site natural readers online afin d’améliorer sa prononciation pour un passage à l’oral
- Exemple de test de lecture post tâche finale
- Outils TICEs
- Tutoriel de prise en main de l’application Quiziniere
- Tutoriels pour l’utilisation du site mon-oral.net : Première partie | 2ème partie
Stéphane RAYMOND
Relecture et corrections: Mme BERGMANN