Une œuvre poétique − autobiographique – traduite du japonais à lire si l’on est touché par la grâce du chat !
Je l’ai lue peu après l’arrivée dans mon jardin d’un chat blanc tacheté de marron avec lequel j’ai progressivement tissé une relation entre les arbres et le survol des libellules au-dessus du bassin !
« Le chat qui venait du ciel » nous invite dans « un pavillon situé sur le vaste terrain entre le mur d’enceinte et la palissade » près de « l’orme qui couvrait de son ombre la venelle » que Chibi, le petit félin, a choisi pour demeure.
Un couple, locataires du pavillon, va nouer une relation avec ce chat au cœur d’un immense jardin qui révèle une végétation exubérante.
C’est une histoire un peu magique pour plonger dans la nature et dans tout ce qui est anodin avec les sentiments qui traversent le quotidien et le subliment sous l’écriture très poétique de Hiraide Takashi.
Lisa
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