À la Une ! À l’heure de la rentrée, de nombreux collégiens et lycéens peinent à se lever et à suivre les premiers cours de la journée. 

Ce phénomène n’est pas simplement lié au rythme des vacances : il reflète un changement biologique profond, appelé « décalage de phase ». 

Sous l’effet de la puberté, l’horloge interne des adolescents se modifie, les poussant naturellement à se coucher et à se réveiller plus tard. Or, des cours trop matinaux écourtent leur sommeil et nuisent à leur attention, leur humeur et leur capacité d’apprentissage. 

Plusieurs études scientifiques, en France et à l’international, montrent qu’un simple report du début des cours améliore significativement le sommeil, la santé mentale et les performances scolaires des adolescents.

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